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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 23:12

Quelquefois, il ne faut pas aller bien loin, pour apprécier une belle balade. C'était le cas, aujourd'hui 17 décembre, dernière marche du mardi de l'année 2013. Ce n'est, finalement pas très étonnant, car Michel connaît cette région comme sa poche. Il l'a parcourue dans tous les sens, que ce soit en course à pied, en VTT ou en vélo de route, et ce n'est pas fini!

Serres-Castet fait partie de la banlieue de Pau, et l'on était loin d'imaginer, que l'on y pouvait randonner sur de très beaux sentiers. Parfois le sentier serpentait en montant au sommet du coteau, offrant un panorama à vous couper le souffle sur les Pyrénées. Et parfois, le sentier longeait le lac, ou traversait de magnifiques bois tapissés de feuilles.

La météo était très favorable à la marche: légèrement couvert mais pas menaçant, et température douce pour la saison.

Bref, tous les marcheurs étaient ravis de cette belle sortie.

 

Lien vers les cartes dynamiques d'IGN ou Google: http://www.visugpx.com/?i=1387751830

Serres-Castet
Serres-Castet
Serres-Castet
Serres-Castet
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Trace de Serres-Castet 2013

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15 décembre 2013 7 15 /12 /décembre /2013 13:57

Ce 15 décembre 2013, avait lieu la sortie habituelle de fin d'année. Nous étions une cinquantaine à partir en bus dans la vallée de Barétous, vers la station nordique d'Issarbe, où l'on pratique essentiellement le ski de fond et les raquettes en hiver.

La plupart des randonneurs avaient leurs raquettes à neige pour parcourir les beaux circuits de cette région. Léo a fourni l'équipement à une douzaine de personnes, ce qui a permis à la quasi totalité du groupe de faire un petit circuit autour du pic d'Issarbe.

Cela tombait bien, j'en rêvais d'essayer ce moyen de randonner, et je fus comblé. D'après les randonneurs, les conditions étaient faciles, météo superbe, neige dure et non collante, petit circuit.

Tout s'est bien passé, les photographes du groupe mitraillaient à tire larigot. Voir le beau reportage de Nathalie avec ce lien:

https://plus.google.com/photos/108148141110290822505/albums/5957738551196036641/5957738765818461570?gpinv=AMIXal9okuEYBga6xCjIeBdSIemwEFNI59eYcqzSjDfCJbZw2ygps8EvXEFTsB0g1ohhGP_rgx9-vXe831w7D4gEiydYPKwUFyhEmXxrztpCGGZ-BPQTxWM&cfem=1&sort=1&pid=5957738765818461570&oid=108148141110290822505

Au début de la randonnée, vers le Nord, nous avons pu observer toute la plaine des Pyrénées Atlantiques, depuis Pau, en passant par Oloron, Lacq, Orthez et jusqu'à Bayonne.

Puis nous sommes passés dans une zone boisée, où nous avons remarqué les traces de lièvres, de renards et de sangliers.

En fin de randonnée, vers le sud, rien de plus agréable, que de contempler la chaîne des Pyrénées (pics d'Orhy, d'Occabé, d'Annie, la Pierre Saint-Martin...).

Il vaut mieux oublier le casse-croûte que nous avons grignoté au "restaurant" du Grand Tétras.

Mais par contre, nous n'oublierons pas la célébration de l'anniversaire de notre ami Jean, ni le discours de Jacques suivi des nombreux remerciements de notre pétillant octogénaire.

Au retour, et afin de dégourdir les jambes des "non raquetteurs", nous avons fait une petite marche tranquille entre Lanne et Aramits.

Comme d'habitude, le tracé de cette petite balade a été enregistrée sur mon GPS. Cela s'appelle une "trace", qui est visible sur cartes, sur le site de VisuGPX.com, mais chose nouvelle, qui peut-être téléchargée directement, et visible en 3D sur votre Google Earth.

Voici comment procéder:

1- Téléchargez et installez le fichier de la trace sur votre PC, à l'endroit que vous souhaitez dans vos documents.

 

2- Téléchargez et installez Google Earth sur votre PC si nécessaire.

http://www.google.fr/earth/download/ge/agree.html

 

3- Choisissez le mode de fonctionnement "DirectX" ou "OpenGL". Il faut tester les deux versions, et choisir celle qui fonctionne le mieux pour votre PC, en appliquant ceci:

 

Changer de mode (DirectX ou OpenGL)

Sous Windows, les utilisateurs peuvent exécuter Google Earth (version gratuite) et Google Earth Pro en mode DirectX ou OpenGL. Si vous rencontrez des problèmes graphiques, essayez d'exécuter Google Earth dans chaque mode pour déterminer si l'un des deux convient mieux à votre système.

Définir DirectX comme moteur de rendu par défaut

Pour passer en mode DirectX, procédez comme suit :

  • Cliquez sur Démarrer > Tous les programmes.
  • Placez le pointeur de la souris sur Google Earth ou Google Earth Pro, puis sélectionnez Démarrer Google Earth en mode DirectX.

 

Définir OpenGL comme moteur de rendu par défaut

Pour passer en mode OpenGL, procédez comme suit :

  • Cliquez sur Démarrer > Tous les programmes.
  • Placez le pointeur de la souris sur Google Earth ou Google Earth Pro, puis sélectionnez Démarrer Google Earth en mode OpenGL.

 

Pour changer de mode, vous devez fermer Google Earth.

 

 

4- Après l'ouverture de Google Earth, cliquez en haut à gauche sur l'onglet "Fichier"

 

5- Cliquez sur "Ouvrir" et choisissez le fichier de la trace "Issarbe 2013.gpx" sur votre PC.

Après avoir cliqué sur "ouvrir", une nouvelle fenêtre apparaît, pour choisir le fichier.

Sélectionnez dans la colonne de gauche, le répertoire où vous avez enregistré ce fichier.

Faire apparaître la liste de tous les fichiers visibles, en cliquant sur le triangle noir, dans la case en bas à droite, et au-dessus de "Annuler", et sélectionnez "Tous les fichiers (*.*)".

Sélectionnez le fichier de la trace et cliquez sur "ouvrir" en bas à droite.

Une petite fenêtre s'ouvre, cliquez sur OK, et la trace apparaît en bleu clair, ainsi que son nom au point d'arrivée: 15 décembre 2013 à 12 heures 17mn et 32s (heure d'enregistrement de la trace sur le GPS).

 

6- A l'aide des 3 outils en haut à droite, manipulez la trace dans l'espace. Pour une première utilisation, essayez de suivre les indications données sur l'image suivante:

Issarbe

On retrouvera les images classiques qui situent d'abord le lieu, puis le détail du circuit sous IGN, et enfin le profil de la rando.

Voici le lien, pour s'amuser avec les cartes dynamiques IGN ou Google Maps, chez VisuGPX.com: http://www.visugpx.com/?i=1387466559

Pour terminer, j'ai rajouté deux captures d'écran en 3D, pendant l'utilisation de Google Earth.

Si vous avez des difficultés pour l'utilisation de Google Earth, je me ferais un plaisir de vous aider.

Si vous le souhaitez, vous pouvez télécharger d'autres traces que nous avons réalisé, en allant sur le site de VisuGPX,com. Vous allez d'abord retrouver l'article qui relate la sortie, ensuite cliquez sur le lien de VisuGPX.com, puis télécharger la trace sur votre PC. Sur un parcours relativement plat, la visualisation en 3D, ne présente pas beaucoup d'intérêt, par contre en montagne, c'est fabuleux.

Issarbe
Issarbe
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Issarbe
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28 octobre 2013 1 28 /10 /octobre /2013 15:03

Léo Lagrange Pau a organisé un "voyage randonnée" aux calanques de Marseille du 5 au 11 octobre 2013.

Les calanques sont réparties au sud-est de Marseille, sur une distance d'environ 20 km, jusqu'à Cassis.

Le premier jour, le 5, nous sommes arrivés à l’hôtel à pied. Mais si...mais si. Incroyable! C'était une première pour moi, pourtant des hôtels j'en ai vu quelques uns! Nous avons fait les 5 derniers kilomètres en descente, de la route des crêtes au centre-ville de La Ciotat, et heureusement les bagages sont arrivés avec les bus.

Le second jour, le 6, nous avons randonné autour des calanques de Port Miou, Port Pin et d'En Vau.

Le 7, c'est par bateau que nous sommes allé au sud-est de Hyères sur l'île de Port-Cros, où nous avons fait une petite boucle.

Le 8, c'était le tour des calanques de Sormiou et Morgiou.

Le 9, nous avons garé les minibus à l'entrée de Marseille. Nous avons marché vers le centre, et effectué le retour avec les bus de la ville.

Le 10, il était impossible de manquer les calanques dites de Marseille situées plein sud, Les Goudes, Callelongue, Mounine et Marseilleveyre.

Enfin le 11, avant le retour, nous avons visité le village très pittoresque de Lourmarin.

 

Durant tout le séjour, la météo était superbe, sans nuage, seulement un peu de mistral le 10 octobre et des températures toujours très douces. Bref, l'idéal!

 

Les Calanques
Les Calanques
Les Calanques

Premier jour, le 5 octobre:

Nous sommes partis de Jurançon, le matin, avec 3 minibus très confortables, encadrés par Pierre et Thomas. Nous avons très bien roulé, et vers 13h, le casse-croûte a eu lieu sur une aire d'autoroute, près de Nîmes.

Nous sommes arrivés entre Cassis et La Ciotat en milieu d'après-midi, ce qui nous a laissé le temps de terminer notre voyage à pied, de la route des crêtes, jusqu'à l'hôtel Les Lavandes à La Ciotat. L'idée était très originale, et notre état au moment du départ, plutôt sceptique. Finalement, les 300m de descente sur 5km de long, ne furent qu'un préambule très agréable, au milieu des arbousiers ou autres plantes méridionales, et toujours avec des points de vue paradisiaques sur la côte.

Le diner, comme ceux des jours suivants, a eu lieu à l'hôtel. Tous les marcheurs ont apprécié la cuisine familiale et "tout fait maison". Un régal!

Les chambres de l'hôtel étaient parfaitement adaptées à un tel séjour. Pas de bruits génants, lits très confortables, l'hotel est conforme aux deux étoiles. Globalement, les marcheurs de Léo Pau étaient très satisfaits.

 

Les Calanques
Les Calanques
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Les Calanques
Les Calanques
Les Calanques
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Deuxième jour, le 6 octobre:

Tous les petits déjeuners furent pris également à l'hôtel, et tous les participants ont apprécié la qualité et la quantité.

Le matin, la cuisinière nous préparait des salades diverses, riz, thon, oeufs, olives...pommes de terre, pattes, ... Chacun avait sa poche pour le casse-croûte de midi, avec la salade, un fromage, du pain, un fruit ou un dessert. Impeccable!

Nous avons garé les minibus à Cassis, et emprunté les GR 51 et GR 98 qui longent toute la côte.

Rapidement, nous avons atteint et longé la calanque de Port Miou, qui sert plutôt de port de plaisance.

Toujours en suivant les GR, et avec des dénivelés faibles, nous sommes arrivés à la plage de galets de Port Pin, où trois courageux ont pris un bain un peu "frisquet".

Puis nous avons quitté les GR pour longer la très belle calanque d'En Vau, et nous avons cassé la croûte en bordure d'une magnifique falaise, à 150m de haut. Cela restera un des moments forts et inoubliables. Pour rejoindre la plage de cette calanque, il y avait une descente difficile. Pierre et Thomas ont donc décidé de faire deux groupes, l'un alerte et l'autre tranquille.

Le premier groupe, est allé jusqu'à la plage (trace ci-jointe) puis est retourné vers les bus en remontant par le fond d'une vallée, et le second groupe est resté sur un plateau avec de très beaux points de vue. A la rencontre des deux circuits, le groupe des tranquilles, arrivés en premier, ont laissé sur la route un message écrit avec des cailloux (voir photos).

Nous nous sommes tous retrouvés autour d'un verre, sur une terrasse d'un café du port de Cassis.

La journée fût sublime!

 

Lien vers les traces et les cartes IGN dynamiques chez VisuGPX.com: http://www.visugpx.com/?i=1382398325

Les Calanques
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Troisième jour, le 7 octobre:

Les calanques sont situées à l'Ouest de Cassis, et pour une fois, nous avons pris l'autoroute en direction de l'Italie, vers l'Est. L'objectif était Hyères en passant par Toulon. Autour de 9h, nous avons embarqué vers l'île de Port-Cros, située au Sud-Est de Hyères. La mer était calme, la traversée relativement courte (environ 3/4 h) et personne n'a été malade.

Au départ de la rando, on a visité une petite chapelle, puis dans le sentier, nous avons rencontré de nombreuses araignées à l'affût sur leur grandes toiles, signe d'une grande présence d'insectes.

En montant vers les crêtes de l'île, à moins de 200m d'altitude, nous sommes passés devant des ruines d'une "Maison aux vaches", car autrefois, il y avait des vaches sur l'île. Devant ces ruines, figurait un panneau: "Attention: chûtes de pierres". Ce qui devait arriver! Notre Pierre s'est retrouvé les quatre fers en l'air, juste sous le panneau.

Un peu plus loin, un petit barrage retenait le peu d'eau de la région, pour les quelques habitants du port.

Puis nos accompagnateurs, nous ont parlé de la flore et de la faune de l'île. Parfois, le récit dérivait vers la fiction: "on trouve également sur l'île, une espèce de singe..." (la suite serait délectable, malheureusement, je ne peux, pas la dire, et c'est regrettable, cela nous aurait fait rire un peu).

Au sommet de la crête, il y avait des vestiges d'un soubassement d'une habitation, probablement en bois, et de nombreux jolis points de vues. Une route goudronnée, utilisée par les militaires (car la zone est un point stratégique, à proximité des bases de Toulon et d'Aix), nous a permis de descendre tranquillement vers une petite plage, où nous avons cassé la croûte.

Le retour vers le port, s'est effectué par un sentier botanique accroché à la falaise sinueuse.

Et comme d'habitude, rien de tel pour finir une belle promenade, qu'un petit pot au bistrot du port.

 

Lien vers les traces et les cartes IGN dynamiques chez VisuGPX.com: http://www.visugpx.com/?i=1382704093

Les Calanques
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Quatrième jour, le 8 octobre:

Nous sommes partis un peu plus vers l'Ouest, pour parcourir les calanques de Sormiou et de Morgiou. Le départ et l'arrivée ont eu lieu, directement au fond des calanques, qui ont la particularité d'avoir chacune un port, et autour leurs célèbres cabanons.

Nous avons garé les bus au fond de la calanque de Sormiou. Nos guides ont choisi de suivre le sentier PR (petite randonnée) qui rejoint les deux ports de Sormiou et Morgiou.

En contournant le port au milieu des cabanons, un monsieur bien sympathique, nous raconte qu'il vient tous les jours faire un petit tour. Tous les promeneurs se rassemblent autour de lui, et il nous relate sa grande découverte du 7 septembre 1998, tout en remontant son chalut, près de l'île de Riou et au large de la calanque Marseilleveyre: la gourmette d'Antoine de Saint-Exupéry. Nous étions tous "scotchés" à son récit. Les appareils photos n'arrêtaient plus de prendre des clichés de Jean-Claude Bianco. Ce que nous retiendrons, c'est qu'il s'est battu durement, pour faire valoir sa vérité. Merci monsieur Bianco.

Si vous voulez tout savoir sur la disparition de Saint-Exupéry: http://www.plus.randomania.fr/antoine-de-saint-exupery-la-verite-sur-sa-mort-60-ans-apres/

 

Puis nous avons repris notre sentier dont la pente s'accentuait de plus en plus, au fur et à mesure que nous nous approchions de la crête de Morgiou. Parfois, ce sentier passait au milieu de grandes plaques presque lisses. C'était l'occasion de tester l'accrochage des semelles de nos chaussures. Juste avant le sommet, un passage délicat nous attendait. Il ne mesurait que 2 ou 3 mètres de haut, mais c'était énorme pour les moins valides. Nos guides ont su nous guider!

Puis au sommet, de la crête de Morgiou, autour d'un grand cairn, nous nous devions de faire quelques photos de la calanque de Sorgiou. Ensuite, nous avons quitté le PR, et pris la direction du Cap Morgiou. En arrivant à proximité des falaises de la calanque de Morgiou, c'était l'heure et l'endroit rêvé pour casser la croûte. Tout en grignotant, notre regard s'échappait en permanence vers cette vue exceptionnelle sur la calanque de Morgiou.

C'est presque avec la tristesse de quitter un tel endroit, que l'on reprennait notre aventure, en descendant vers le Cap Morgiou. Le sentier, bien que facile, était couvert de gravier, très sinueux, et relativement raide pour quelques marcheurs prudents.

Tout le temps de cette longue descente, nous avions devant nous, la fameuse presqu'île du Cap Morgiou, rendue célèbre depuis juillet 1991, par un certain Henri Cosquer. A l'extrémité sud, se trouve une petite calanque circulaire appelée calanque de la Triperie. C'est dans ce lieu, qu'Henri Cosquer a découvert par 37 mètres de fond, l'entrée d'une grotte préhistorique avec plusieurs dizaines de dessins peints ou gravés, il y a plus de 20000 ans. En travers et au milieu de la presqu'île, nous avons remarqué une grande muraille, sorte de rempart, la grotte Cosquer est approximativement dessous.

Voici un site très intéressant sur la grotte de Cosquer: http://www.culture.gouv.fr/fr/archeosm/fr/fr-medit-prehist.htm

 

Tout en continuant de descendre, nous avons pris la direction du port de Morgiou. 100m avant l'arrivée, nous avons vu des cabanons accrochés aux parois de la falaise, avec des accès difficiles. Juste avant de parvenir sur la plage, il y avait un passage délicat mais pas dangereux.

Comme d'habitude, nous avons terminé par un pot dans un bar où l'accueil fût loin de figurer parmi les meilleurs. Pendant ce temps, les trois chauffeurs, Pierre, Thomas, André et Michou pour les accompagner, sont retournés à Sorgiou récupérer les bus.

 

Lien vers les traces et les cartes IGN dynamiques chez VisuGPX.com: http://www.visugpx.com/?i=1382720087

Les Calanques
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Cinquième jour, le 9 octobre:

Nous avons garé les bus dans le quartier Mazargues près de l'obélisque, et nous avons suivi le nouveau GR 2013, qui mène au centre de Marseille.

Les différents endroits successifs que nous avons visités sont: Le Parc Borely, le Parc Balnéaire du Prado (casse-croûte près de la plage), Basilique Notre Dame de la Garde, Vieux port et Hotel de Ville.

On a eu quartier libre pendant plus d'une heure, pour faire du shopping ou des visites complémentaires.

Comme d'habitude, nous nous sommes retrouvés autour d'un pot, près du Vieux Port. Puis, dans la rue de La Canebière, nous avons pris les bus de la ville, pour rentrer à Mazargues par le Boulevard Michelet.

 

Lien vers les traces et les cartes IGN dynamiques chez VisuGPX.com: http://www.visugpx.com/?i=1382828264

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Sixième jour, le 10 octobre:

Pour le dernier jour de randonnée, nous sommes revenus vers la partie extrême Ouest des calanques et au sud de Marseille.

Nous avons garé les bus à l'entrée du village Les Goudes. Par des sentiers très faciles, nous avons longé la côte vers l'Est, nous sommes passés par la calanque Callelongue. A la prochaine, la calanque de la  Mounine, nos guides ont refait deux groupes pour parcourir deux tracés de difficultés différentes.

Comme pour la rando de Cassis, j'étais dans le groupe "alerte", et mon épouse dans le groupe "tranquille". Nous avons remonté, une partie commune du vallon de la Mounine, puis les premiers ont continué vers le col de la Galinette, et les seconds vers le Rocher de Saint-Michel.

Notre groupe a continué vers le col de la Selle, et nous avons cassé la croûte sur un promontoire à proximité du col. Nous avions une très belle vue sur la vallée appelée "Grand Malvallon" qui se termine par la calanque de Marseilleveyre. On commençait à ressentir les prémices du mistral.

Dans l'après-midi, nous sommes descendus dans cette belle vallée encaissée, où subsiste encore des traces d'un incendie récent, probablement de 2 ans. Dans toute la partie fertile et brûlée, on a remarqué la plantation de jeunes pins encerclés par des petites pierres.

En arrivant à la calanque de Marseilleveyre, le mistral était devenu relativement fort. Nous ne nous sommes pas attardé pour rentrer le long de la côte jusqu'à Callelongue. Nos compères étaient tranquillement installés, devinez où ? Mais au bar bien sûr!

Tous ensemble, nous avons rejoint les bus, et nous sommes rentrés à La Ciotat.

En fin d'après-midi, Léo avait prévu de nous inviter à l'apéritif sur le port de La Ciotat. La table très longue et l'ambiance chaude ont favorisé les "vols de glaçons"! C'était une fois de plus très sympa!

De retour aux Lavandes, le patron de l'hotel nous a offert également une bonne tournée de pétillant. Puis les marcheurs du bus de Pierre, ont chanté une chanson très connue, mais un peu arrangée: "J'ai déposé les clefs à l'endroit où tu sais".

Enfin après le repas, quelques chansons du sud-ouest ont clôturé la journée bien remplie.

 

Lien vers les traces et les cartes IGN dynamiques chez VisuGPX.com:

http://www.visugpx.com/?i=1382868484

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Septième jour, le 11 octobre:

Il fallait bien partir un jour! Mais avant de quitter la région, on a fait une petite halte dans le village très pittoresque et célèbre: Lourmarin. Aix-en-Provence, se trouve à 25km au Nord de Marseille, et Lourmarin, à 30Km au Nord d'Aix. Cela tombait bien, car c'était le jour du marché, et nous avons eu quartier libre pendant une heure environ.

Ensuite, nous avons dégusté des vins régionaux, dans un chateau, à proximité de Lourmarin.

Pour casser la croûte, nous avons cherché un coin sympa, et nous l'avons trouvé à 5km de Lourmarin: c'était la base de loisir de Lauris.

Puis nous avons repris la route, fait une pause café du côté de Montpellier, et retour direct à Jurançon vers 19h. Il y avait un petit air de mélancolie chez les marcheurs, car le séjour était vraiment très très bien.

Merci à l'hotel Les Lavandes, à Léo-Lagrange, aux organisateurs, aux accompagnateurs et chauffeurs. A la prochaine! Mais ce sera difficile de faire aussi bien!

Distances en randonnées: 11,75 + 7,37 + 4,11 + 12,5 + 11,29 = 47,02 Km

Dénivelés: 400 + 230 + 225 + 200 + 410 = 1465 m

Les Calanques
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27 juin 2013 4 27 /06 /juin /2013 18:31

Vous n'avez jamais randonné en montagne, mais cela fait partie de vos rêves, et si vous avez de l'appréhension pour votre première sortie, choisissez cette balade.

Cette randonnée de Artigues à Payolle dans la région de Campan, est un aller simple. Elle relie la vallée de la Mongie / Tourmalet à la vallée de Payolle / Aspin, par un chemin très facile, très large et quasiment à l'horizontale. Mais elle a tout de même demandé une préparation et une organisation, comme Léo Pau sait les faire.

Nous sommes arrivés à Artigues vers 10h, sur le plus haut parking. Il faisait un temps superbe pour faire de la rando, un petit soleil, très peu de vent et des températures clémentes (enfin l'été!).

Toujours fidèle à lui-même, Michel L. s'était une nouvelle fois dévoué, pour nous rejoindre à mi-parcours avec tout le matériel nécessaire au repas, et son vélo pour aller chercher les bus pendant que nous nous promenions.

En préambule, Jacques nous a guidé vers la cascade d'Artigues, juste au départ de la rando, que personnellement je n'avais pas revu depuis 42 ans. Elle valait vraiment le petit détour!

Il n'y avait que deux petites ascensions, l'une au départ de 50m un peu raide, et l'autre de 75m à mi-parcours, mais en pente très douce. Tout le reste, c'était quasiment à l'horizontale ou en descente.

Après le petit raidillon du départ, le chemin descendait légèrement et était très ombragé. C'est un chemin pratiqué par les engins forestiers. La forêt se terminait au bout de 4,5km, pour laisser la place à d'immenses prairies ou de beaux troupeaux de Lourdaises couchées, digéraient tranquillement leur repas de la matinée. On a pu admirer deux anciennes granges recouvertes de chaume, et la dernière bénéficiait en plus d'une magnifique haie d'aubépines, qu'on appelait "brocs", bien taillée comme autrefois. Pendant des siècles, les bêtes étaient parquées près des habitations ou granges, dans des enclos clôturés par ces haies infranchissables, car elles comportaient des épines agressives. C'était le temps où le barbelé, et encore moins les clôtures électriques n'existaient pas. Difficile d'imaginer une grande partie de la campagne actuelle, morcelée par ces haies! Pourtant, il y a un demi-siècle, le centre du village de Gabaston se composait encore de nombreuses haies d'aubépines. Hélas, la majeure partie a disparu, il en reste quelques unes devant la ferme Puyoulet.

Quelques troncs de hêtres très longs, en bordure de route, nous permettaient de faire une petite pause face au soleil un peu timide.

Puis ce fût l'heure du casse-croûte. Jean a très bien décrit la scène:

"randonnée agrémentée le midi par un menu montagnard: tomate œuf dur, grillades : saucisse, ventrèche, lomo, pommes de terre rissolées, salade, fromage, beignets, madeleine au citron, clafoutis aux cerises, café, le tout arrosé de quelques bouteilles de Saint-Emilion, Jurançon, rosé .Sans oublier une bonne dose de bonne humeur. Renouvellement demandé à l'unanimité. Un grand merci aux organisateurs."

Il a raison à 100% Jean. Après ces moments bien agréables entre amis, nous avons repris courageusement la rando vers Payolle en montant de 75m en pente douce. Puis ce fut un spectacle inoubliable des ruines d'un vieux village où ne subsiste qu'une seule grange entourée de murs en pierres empilées, et de magnifiques "frigos" de l'époque en bordure de la rivière. Cela me donnait des frissons, de savoir qu'à cet endroit, ont vécu pendant très longtemps de nombreuses familles.

Pour traverser la rivière la Gaoube, une belle passerelle était partiellement endommagée, suite aux terribles crues du 18 au 22 juin 2013. Les fortes précipitations, conjuguées au fort enneigement des Pyrénées durant l'hiver et le printemps, sont responsables de ces crues meurtrières et dévastatrices des vallées de l'Adour.

Toujours en descendant, nous avons emprunté une belle vallée occupée par un immense troupeau de vaches et très peu de chevaux. Les moutons, attendent encore au fond des vallées que les sommets soient moins enneigés, que les cabanes de bergers soient accessibles, et que l'herbe pousse! Notre berger d'Ouillon, parle de mi-juillet pour monter aux estives! Du jamais vu!

Comme prévu Michel avait récupéré les bus, et les avait garé correctement en face le camping. En nous déchaussant, vers 15h40, le gérant du camping et du petit bistrot, s'est montré peu commercial. Mais c'était dérisoire, comparé à la journée que nous avons passé.

Lien vers la trace et les cartes dynamiques IGN chez VisuGPX.com: http://www.visugpx.com/?i=1373491310

Une superbe journée!
Une superbe journée!
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Une superbe journée!
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21 mai 2013 2 21 /05 /mai /2013 00:39

Mai 2013 restera marqué par une météo pourrie. Pluie et froid en continu, il y en a marre! Et ce matin, du mardi 21, ça ne change toujours pas.

La randonnée montagne prévue était: le cirque du Litor, au sommet de la vallée de l'Ouzom, près du col du Soulor, et à la limite des Pyrénées Atlantiques et des Hautes Pyrénées.

Comme d'habitude, Thomas avait prévu un "plan B", en cas de mauvaises conditions climatiques: ce fut la vallée d'Escarra, en Espagne, derrière le Pic du Midi d'Ossau.

Nous sommes donc partis vers la vallée d'Ossau, sans pluie, mais par une température de 6°C. Au sommet du Pourtalet, il y avait encore beaucoup de neige, mais très peu de voitures. La route était sèche. Nous sommes descendus en Espagne jusqu'à Escarilla, à 14km de la frontière. Nous avons garé les bus, juste après le tunnel, à l'entrée du village pratiquement désert.

Le ciel était partiellement couvert, et la pluie ne nous menaçait pas.

Quelques différentes cartes
Quelques différentes cartesQuelques différentes cartes
Quelques différentes cartesQuelques différentes cartesQuelques différentes cartes

Quelques différentes cartes

Trace GPS sur carte IGN espagnole

Trace GPS sur carte IGN espagnole

Nous sommes partis en direction du tunnel Escarra, et nous avons pris juste avant l'entrée, un chemin sur la gauche, qui s'est rapidement transformé en sentier étroit à moutons, au milieu de rocailles, mais faciles à franchir.

Dès les premiers mètres, les nombreux spécialistes des fleurs manifestaient leurs joies, et les commentaires fusaient de toute part. C'est vrai que c'était magnifique! En se rapprochant de la région du casse-croûte, nous étions même obligés de marcher sur des orchidées, tellement la concentration était importante. J'ai bien retenu, la plante que l'on appelle, coussin de belle-mère!

A mi-parcours de la montée, nous entendions des sifflements répétés en provenance du côté droit, où l'on apercevait un énorme amalgame de roches, déplacées par des anciens glaciers. C'était des marmottes inquiètes de notre présence et apparemment nombreuses, que l'on voyait se réfugier furtivement sous les pierres.

A 500m du col, et avec les premières tâches de neige, c'était l'heure du casse-croûte. Les pierres ne manquaient pas pour s'installer devant notre panorama. Au fond de la vallée, on distinguait notre village de départ, Escarilla, avec ses jolis toits d'ardoise, derrière, une grande chaîne de montagnes à moitié recouvertes de neige, et sur la gauche, les falaises aux roches friables, au pied desquelles à débuté notre randonnée.

L'heure du casse-croûte, derrière nous, le pic de la Cochara (1908m).

L'heure du casse-croûte, derrière nous, le pic de la Cochara (1908m).

Le panorama, avec à gauche, les falaises et dans les basses rocailles, le repère des marmottes.Le panorama, avec à gauche, les falaises et dans les basses rocailles, le repère des marmottes.

Le panorama, avec à gauche, les falaises et dans les basses rocailles, le repère des marmottes.

Après la pause, Thomas proposait un petit plus aux volontaires, sans les sacs.

Avant d'arriver au col, des terriers éparpillés, trahissaient la présence de marmottes. A 20m de nous, l'une d'entre elles, moins timide, sortait uniquement sa tête. Pas pour longtemps, mais Thomas a pris les repères pour le retour.

Plus loin, nous avons marché sur de grandes plaques de neige quasiment à l'horizontale, donc sans danger.

Sur la neige.Sur la neige.

Sur la neige.

Au colAu col

Au col

Puis nous sommes descendus de 200m environ vers le lac Escarra, juste pour faire le point et quelques photos. Au bout de 5mn, nous avons rebroussé chemin, car les gardiens de sacs devaient s'impatienter.

Pas très loin du lac.Pas très loin du lac.Pas très loin du lac.
Pas très loin du lac.

Pas très loin du lac.

Retour vers le col à gaucheRetour vers le col à gauche

Retour vers le col à gauche

Descente vers nos compagnes de rando, et approche de la marmotte courageuse.Descente vers nos compagnes de rando, et approche de la marmotte courageuse.

Descente vers nos compagnes de rando, et approche de la marmotte courageuse.

Après le regroupement des randonneurs, la descente était un peu précipitée par la menace de quelques gouttes. Mais, finalement, rien.

Thomas, nous a montré un petit oiseau, le traquet motteux, probablement l'un des plus grands migrateurs au monde. Il est réparti partout dans l'hémisphère nord, et tous, je dis bien tous, vont hiverner en Afrique équatoriale. Lisez le paragraphe "Comportement" au milieu de la page suivante, et vous pourrez imaginer les différents périples de cet oiseau extraordinaire. http://www.oiseaux.net/oiseaux/traquet.motteux.html

Devant la multitude des genévriers, Thomas nous a résumé la composition et les bienfaits de ses baies noires. http://www.passeportsante.net/fr/Solutions/HerbierMedicinal/Plante.aspx?doc=genevrier_hm

Devant les genévriers.Devant les genévriers.

Devant les genévriers.

La dernière petite pause. Au centre des pneus, une pierre plate pour mettre le sel destiné aux brebis.

La dernière petite pause. Au centre des pneus, une pierre plate pour mettre le sel destiné aux brebis.

A la fin de la descente, nous avons emprunté un chemin très pratiqué par les tracteurs. De part et d'autre de ce chemin, on pouvait remarquer les clôtures pour les brebis, et de façon insolite, les barrières métalliques réalisées avec de vieux sommiers à ressorts.

En arrivant au village, on constatait que les beaux immeubles, parés de belles pierres et de bois lasurés, étaient quasiment tous vides.

De retour vers la France, nous avions en face de nous, l'Ossau dans toute sa splendeur. Puis, une petite halte aux "ventas" du col de Portalet, s'imposait.

A peine, nous avons amorcé la descente, nous avons mis les essuie-glaces jusqu'à Pau. Finalement, l'Espagne, c'était un choix excellent.

Lien vers des cartes dynamiques chez : TraceGPS.com :

http://www.tracegps.com/fr/parcours/circuit15384.htm#

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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 01:02

Quelle bonne idée en ce mois de mai, de randonner dans le Vic-Bilh au milieu des orchidées!

Lespielle se trouve à une trentaine de kilomètres au nord-est de Pau, proche de Lembeye, Escurès et Castillon.

La météo était parfaite pour la balade, mais trop ensoleillée pour faire de belles photos de fleurs. J'y suis retourné deux jours plus tard, avec de meilleures conditions d'éclairage, et sur un plus grand site.

Selon les locaux, les orchidées poussent partout dans la région, même dans la pelouse du spécialiste des orchidées de Lespielle. Quelques critères sont toutefois indispensables au développement de ces fleurs: d'abord un terrain calcaire sec, ensuite une exposition très ensoleillée. En complément, sur ces terrains sauvages avec de nombreux genévriers, des animaux comme des vaches, des chevaux ou des ânes sont parqués régulièrement. Ils empêchent ainsi le développement des ronciers et favorisent le maintien d'une grande variété botanique.

Au départ, nous sommes remontés vers le centre du village, puis nous avons emprunté le chemin Miqueu sur quelques dizaines de mètres, et ensuite, un chemin de terre sur la droite. Une longue montée ombragée, quasiment en ligne droite nous a pris un peu à froid. Au sommet, un chêne plusieurs fois centenaire, trône au milieu des premières maisons d'Escurès. Malheureusement, il est rongé par des larves du plus grand coléoptère d'Europe: le grand capricorne du chêne. http://www.insectes-net.fr/cerdo/cerd2.htm

Comme nous le faisait remarquer Jean,une autre particularité figure sur cet arbre majestueux. C'est la présence d'une loupe (ou broussin) à la base de son tronc. http://fr.wikipedia.org/wiki/Broussin

La rando des orchidées de Lespielle
La rando des orchidées de Lespielle

Quelques dizaines de mètres plus loin, un panorama sur la vallée du Lées, n'a laissé personne indifférent. On pouvait remarquer le village d'Escurés tout à fait à gauche, et au loin sur le coteau d'en face, la commune de Simacourbe, où l'on devine le château d'eau et l'église.

Des maisons anciennes très bien restaurées, fleuries et entretenues, donnent à ce quartier, un agréable cachet.

La vallée du Lées, un puits bien conservé, et les boules de neige avant la D13, de Lembeye à Castillon.
La vallée du Lées, un puits bien conservé, et les boules de neige avant la D13, de Lembeye à Castillon.La vallée du Lées, un puits bien conservé, et les boules de neige avant la D13, de Lembeye à Castillon.

La vallée du Lées, un puits bien conservé, et les boules de neige avant la D13, de Lembeye à Castillon.

La rando des orchidées de Lespielle
La rando des orchidées de Lespielle
La rando des orchidées de Lespielle

Après avoir parcouru 300m sur la départementale, en direction de Castillon, on a pris à gauche le chemin Grimaud sur 200m de long. Puis, on a tourné à droite, et longé le coteau sur 600m en prenant un chemin herbeux, parfois à peine visible. On a débouché sur une route goudronnée "Du hameau" à proximité d'une ferme non habitée, où nous avons fait la pause traditionnelle.

Bien requinqués, nous avons pris cette route en descendant vers le centre de Lespielle, sur une centaine de mètres. En empruntant sur la droite un petit chemin de terre, nous avons admiré un second panorama sur les alentours de Lespielle. Ensuite une longue descente d'1,5km sous les bois, nous a permis d'apercevoir les premières orchidées. La descente s'est terminée sur le chemin de l'Enfent, que nous avons pris en tournant à gauche. Au bout de 700m, sur la gauche, on a repéré un panneau indiquant le premier site des orchidées.

Il existe plusieurs panneaux, mais un seul est lisible, et ne comporte pas de logo, ni de référence à un organisme actuel, ni d'arrêté municipal, préfectoral ou autre. De plus, le terme "site naturel protégé" est également ambigu. Internet nous renvoie vers les appellations "site inscrit" et "site classé". L'organisme qui se rapproche le plus de ce panneau est le CREN (Conservatoire Régional d'Espaces Naturels d'Aquitaine) dont le site est le suivant: http://www.cren-aquitaine.fr/cren/crenaquitaine.html. Sur ce site, les visites sont autorisées sur une page, et autorisées avec un accompagnateur du CREN sur une autre page.

Devant tant d'incertitudes, ce terrain peut être parcouru sans scrupule, tout en le respectant bien entendu: ne rien cueillir, et rester sur les sentiers en évitant de marcher sur les fleurs. Sur le site du CREN, ouvrez l'onglet "tester ses connaissances", vous ne serez pas déçu.

Derrière la clôture électrique à bétail, se trouve l'un des sites à orchidées.
Derrière la clôture électrique à bétail, se trouve l'un des sites à orchidées.

Derrière la clôture électrique à bétail, se trouve l'un des sites à orchidées.

Exemple de végétation du premier site.

Exemple de végétation du premier site.

En continuant le chemin de l'Enfent sur 700m, on est arrivé au centre du village, et en prolongeant la descente à droite sur 400m, on a rejoint le point de départ.

Juste en face notre parking, il y avait le moulin de Bellegarde, qui se visite sur rendez-vous. http://gitesdumoulinlespielle.blogspot.fr/ Au bas de la page d'accueil de ce site, vous trouverez un album photo complet, avec tous les noms des orchidées de la région.

Exemple de végétation du second site où l'on peut voir plusieurs milliers d'orchidées, mais pas de panneau, ni de clôture (voir la situation sur la carte détaillée).

Exemple de végétation du second site où l'on peut voir plusieurs milliers d'orchidées, mais pas de panneau, ni de clôture (voir la situation sur la carte détaillée).

Photos du premier sitePhotos du premier sitePhotos du premier site
Photos du premier sitePhotos du premier sitePhotos du premier site
Photos du premier sitePhotos du premier sitePhotos du premier site

Photos du premier site

Photos du second site
Photos du second sitePhotos du second sitePhotos du second site
Photos du second sitePhotos du second sitePhotos du second site

Photos du second site

Autres photos du second site
Autres photos du second siteAutres photos du second siteAutres photos du second site

Autres photos du second site

Toujours au second site, les orchidées les plus bellesToujours au second site, les orchidées les plus bellesToujours au second site, les orchidées les plus belles
Toujours au second site, les orchidées les plus bellesToujours au second site, les orchidées les plus bellesToujours au second site, les orchidées les plus belles
Toujours au second site, les orchidées les plus bellesToujours au second site, les orchidées les plus bellesToujours au second site, les orchidées les plus belles

Toujours au second site, les orchidées les plus belles

Encore au second site, le meilleur pour la fin: la belle et la bête. Une mante empusa pennata femelle posée sur une ophrys abeille.
Encore au second site, le meilleur pour la fin: la belle et la bête. Une mante empusa pennata femelle posée sur une ophrys abeille.Encore au second site, le meilleur pour la fin: la belle et la bête. Une mante empusa pennata femelle posée sur une ophrys abeille.

Encore au second site, le meilleur pour la fin: la belle et la bête. Une mante empusa pennata femelle posée sur une ophrys abeille.

Lien vers les cartes dynamiques d'IGN chez VisuGPX.com: http://www.visugpx.com/?i=1368740843

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25 avril 2013 4 25 /04 /avril /2013 10:22

Comme vous le remarquerez, overblog a évolué vers une nouvelle version dont je suis loin de connaître toutes les possibilités. Veuillez m'excuser s'il y a quelques problèmes provisoires.

Ce jeudi 25 avril 2013, nous avons testé une nouvelle destination, et pour un coup d'essai, ce fut un coup de maître. Cette escapade (journée complète chez Léo) est recommandable à tous points de vue. La ville de Salies (http://www.salies-de-bearn.fr/fr-accueil.html) est magnifique avec un petit parcours touristique, le musée très enrichissant et la balade superbe et facile.

L'usine et la cave étaient fermés: l'usine pour cause de réparation, et pour la cave (crypte du Bayaa), il faut des petits groupes, et réserver par téléphone.

La météo était parfaite toute la journée.

En arrivant, nous avons commencé par un petit tour en ville, suivi par la balade avec casse-croûte/sieste. Ensuite la visite indispensable du musée, puis un petit pot au casino, et pour terminer Michel D. a arrosé ses 37 ans.

Les photos de la ville (1/2)
Les photos de la ville (1/2)Les photos de la ville (1/2)
Les photos de la ville (1/2)Les photos de la ville (1/2)Les photos de la ville (1/2)
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Les photos de la ville (1/2)

Les photos de la ville (2/2)Les photos de la ville (2/2)
Les photos de la ville (2/2)Les photos de la ville (2/2)
Les photos de la ville (2/2)Les photos de la ville (2/2)

Les photos de la ville (2/2)

Le circuit de la balade
Le circuit de la baladeLe circuit de la balade

Le circuit de la balade

Les photos de la balade (1/2)
Les photos de la balade (1/2)
Les photos de la balade (1/2)
Les photos de la balade (1/2)
Les photos de la balade (1/2)
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Les photos de la balade (1/2)
Les photos de la balade (1/2)
Les photos de la balade (1/2)

Les photos de la balade (1/2)

Les photos de la balade (2/2). Sur la dernière, le lac où le brochet a avalé une grenouille énorme!!!!!!!Les photos de la balade (2/2). Sur la dernière, le lac où le brochet a avalé une grenouille énorme!!!!!!!Les photos de la balade (2/2). Sur la dernière, le lac où le brochet a avalé une grenouille énorme!!!!!!!
Les photos de la balade (2/2). Sur la dernière, le lac où le brochet a avalé une grenouille énorme!!!!!!!Les photos de la balade (2/2). Sur la dernière, le lac où le brochet a avalé une grenouille énorme!!!!!!!

Les photos de la balade (2/2). Sur la dernière, le lac où le brochet a avalé une grenouille énorme!!!!!!!

Les photos du muséeLes photos du musée
Les photos du muséeLes photos du musée
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Les photos du musée

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23 avril 2013 2 23 /04 /avril /2013 09:07

Encore une nouvelle rando que tous les marcheurs ont apprécié. Et pourtant, sur les 11,35 Km, il n'y a qu'un seul kilomètre de plat. On monte et on descend en permanence.

Le circuit "jaune" n'est pas balisé, et pourtant il existe sur les plaquettes du Conseil Général. Attention, au kilomètre 7.6, le chemin traverse une ferme. Il faut ouvrir et refermer les clôtures électriques, car on doit passer au milieu d'un enclos où séjourne un troupeau paisible de blondes d'aquitaine. Il est très facile de se tromper et de continuer tout droit, comme nous l'avons fait. Mais 450 m plus loin, le chemin fini dans la cour d'une autre ferme.

Lagor

Lagor se trouve sur un coteau, juste après Mourenx.

La météo était superbe, pas de vent, un ciel bleu et une bonne température.

Lagor
Lagor

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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 22:33

Michel a inové un nouveau circuit pour le club, et il a réussi. Tous les marcheurs ont beaucoup apprécié la bordure du gave d'Ossau, les bois et les beaux points de vue.

Herrere-7.jpg

Nous sommes partis en direction d'Oloron, puis, juste avant cette ville, nous avons tourné à gauche pour suivre les panneaux "Aérodrome". Nous avons continué vers l'église d'Hérrère visible de loin, et garé les minibus sur le grand parking situé devant ce monument.

La météo était idéale, un beau soleil, mais pas trop fort. La végétation commence juste à sortir, et l'ombre est rare en cette saison, mais en été, les nombreux bois doivent apporter un complément de fraîcheur au gave.

Carte-generale-Herrere.JPG

Carte-detailllee-Herrere.JPG

Profil-Herrere.JPG

Herrere-1.jpg

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Herrere-5.jpg

 

 

 

 

Remarquez les vitraux dans les deux capucines.

 

 

 

 

 

Herrere-6.jpg

 

 

 

 

Un monument aux morts de 14/18 original.

 

 

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26 mars 2013 2 26 /03 /mars /2013 00:28

Guy nous a conduit sur un beau circuit autour de Maucor.

La météo, au départ incertaine, s'est révélée parfaite pour la marche: ciel couvert, pas une goutte de pluie et pas de vent.

Carte-generale-maucor-2.JPG

 

Carte-detaillee-maucor-2.JPG

 

Profil-maucor-2.JPG

 

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